Autour du spectacle des spectacles, la compagnie développe des performances hybrides mêlant danse et arts plastiques.

Cette approche répond au besoin de la chorégraphe de créer des formes souples, adaptables, modulables qui se créent au gré des rencontres (par exemple avec un doctorant) ou de la diversité des espaces de représentations in situ. Ces formes permettent de questionner et de rendre vivante et réactive l’écriture chorégraphique. Mais c’est également le choix de présenter une autre facette de la thématique et c’est une autre façon d’aller à la rencontre des publics.

En effet, l’objet de la compagnie est de partager avec le public un certain regard sur le mouvement et de créer un lien plus simple et plus étroit.

Comment continuer à expérimenter les matières chorégraphiques issues notamment des recherches effectuées sur une pièce. Comment les faire vivre autrement ? leur donner une autre dimension et se laisser surprendre par d’autres possibles en fonction des présences et ressentis du moment.

Il s’agit de s’adapter à l’espace, au présent et de faire surgir une autre approche du mouvement, d’interagir plus directement avec le public.

Chaque performance est une façon d’explorer une autre modalité d’écriture.

Ainsi ces performances proposent une autre lecture de la danse, demandent au public une attention autre, un regard différent de celui qu’il pourrait porter sur une œuvre écrite.

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Une performance a été créée dans la cadre d’ une programmation au Parc Culturel de Rentilly (77) qui abrite le FRAC Île de France. Dans le cadre de l’exposition « le Paradoxe de l’Iceberg », un dialogue s’est créé entre les œuvres et les matières chorégraphiques de la pièce en cours.


Photo © Laure Chagnon

Publié par :evatrohel